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Cлово "DIFFERENT"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 23, 25, 26, 27, 28 июля (4, 6, 7, 8, 9 августа) 1849 г.
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2. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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3. Тургенев И. С. - Редактору "Gaulois", 1/13 февраля 1882 г.
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4. Тургенев И. С. - Редактору "Journal de St. Pelersbourg", 7 (19) августа 1854 г.
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5. Une fin (Конец)
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 23, 25, 26, 27, 28 июля (4, 6, 7, 8, 9 августа) 1849 г.
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Часть текста: recu qu'aujourd'hui la lettre que vous m'avez ecrite mardi; je ne sais a quoi attribuer ce retard... Vous ne me dites pas si "Le Prophete"-marche maintenant avec plus d'ensemble - mais je crois que cela s'entend de soi-meme. Vous verrez que vous irez a quinze representations 1 . Les offres - (ou plutot c'est mieux que des offres) de Liverpool sont tres belles; ces Anglais ne se refusent rien 2 . - Je continue a ne pas recevoir signe de vie de chez moi; du reste je me porte bien et suis fort content de mon sort. Le temps a ete assez beau tous ces jours-ci. J'ai recu avant-hier la visite du docteur Fougeux. Nous avons fait une partie de billard, je l'ai promene en bateau. - Je rame mieux que lui, qui cependant se vante d'avoir ete dans son temps le meilleur canotier de Bercy. - Il a du l'oublier depuis ce temps-la - car je suis loin d'etre fort. A propos de bateau, il faut que je vous dise que malheureusement l'eau decroit beaucoup dans les fosses; elle fuit plus que jamais du cote de la fontaine, malgre la terre glaise dont on avait cru boucher le conduit. - Il faudrait refaire la bonde - ce qui ne serait deja pas si difficile, en l'entourant de pierres, en forme de digue. - Il faut aussi que je vous dise que les fosses n'ont pas ete cures du tout; il y a enormement de vase au fond. - Le pere Negros me ...
2. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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Часть текста: and of satirical verve, but will doubtless be taken into consideration by the future historian of the changes through which the face of Russian society has passed during the last hundred years. Its author, who usually writes under the name of Stchedrine, but whose real name is Saltykoff (a descendant, by the way, of the ancient family of Moscow Boyars of that name), after having, like many other writers suspected of propagating liberal opinions, undergone his time of persecution and of exile under the Emperor Nicholas, acquired a great deal of popularity by the publication, some fifteen years ago, of a series of sketches called Scenes of Provincial Life (Gubernskie Ocherki) , in which he lashed with indomitable vigour the numerous abuses then current under the name of Government and Justice. Saltykoff’s manner as a satirist somewhat resembles that of Juvenal. His laughter is bitter and strident, his raillery not unfrequently insulting. But, as we have already said, his violence often assumes the form of caricature. Now there are two kinds of caricature: that which exaggerates the truth, as with a magnifying glass, but which never entirely alters its nature, and that which more or less consciously deviates from the natural truth and proportion of fact. Saltykoff indulges in the first kind only, the only admissible one. It is the natural consequence of his character: kind and sensitive at bottom, but superficially rude. At the same time he is very delicate in his perceptions, which have something of instinct and divination about them. He has read much, and above all he has seen much. In fact he knows his own country better than any man living. The History of a Town...
3. Тургенев И. С. - Редактору "Gaulois", 1/13 февраля 1882 г.
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Часть текста: 1882 г. <РЕДАКТОРУ "GAULOIS"> Je vois avec une certaine surprise que dans le Gaulois d'aujourd'hui mon nom se trouve mele au recit de l'expulsion de M. Pierre Lavroff. C'est comme litterateur que j'ai connu M. Lavroff a Saint-Petersbourg, alors qu'apres avoir ete colonel de l'artillerie de la garde, il professait l'art militaire et publiait des ouvrages de philosophie, c'est comme litterateur que je l'ai introduit un soir a une seance musicale et litteraire du Cercle des artistes russes a Paris. Quant a sauver M. Lavroff, je n'en ai jamais eu ni le pouvoir, ni l'occasion, et nos opinions politiques different a ce point que, dans une de ses publications, M. Lavroff m'a formellement reproche de m'etre toujours oppose comme liberal et opportuniste a ce qu'il nommait le developpement de l'idee revolutionnaire en Russie. Je vous prie, etc. Ivan Tourgueneff   Перевод Я вижу с некоторым удивлением, что в сегодняшнем номере "Gaulois" мое имя примешано к рассказу о высылке г. Петра Лаврова. Я знал г. Лаврова как литератора в С. -Петербурге, когда, оставив службу в гвардии, где он был полковником артиллерии, он преподавал военное искусство н издавал книги по философии; как литератора я ввел его однажды и на музыкально-литературный вечер в Кружке русских художников в Париже. Спасать г. Лаврова я никогда не имел ни возможности, ни случая, а наши политические убеждения до такой степени несходны, что в одном из своих сочинений г. Лавров формально упрекнул меня за то, что, как либерал и оппортунист, я всегда противился тому, что он называл развитием революционной мысли в России. Примите и пр. Иван Тургенев Примечания Печатается по тексту первой публикации: "Gaulois", 1882 13 fevrier. В собрание сочинений впервые включено в издании: Т, Сочинения, т. XII, стр. 407--408. Автограф - полный текст письма к редактору "Gaulois" (И. Ф. Циону) от 29 января (10 февраля) 1882 г. - хранится в ЦГАЛИ, ф. 509, оп. 3, No 5 (см. ...
4. Тургенев И. С. - Редактору "Journal de St. Pelersbourg", 7 (19) августа 1854 г.
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Часть текста: differents journaux etrangers 2 . - Vous comprendrez facilement, Monsieur, qu'il ne peut pas me convenir d'entrer en discussion avec mes critiques, d'ailleurs beaucoup trop bienveillants pour moi, mais ce qui me tient a coeur, c'est de protester contre les conclusions que plusieurs d'entr'eux ont cru pouvoir tirer de mon livre. Je proteste contre ces conclusions et contre toutes les deductions qu'on peut en faire, comme ecrivain, comme homme d'honneur et comme Russe; j'ose croire que ceux de mes compatriotes qui m'ont lu ont rendu justice a mes intentions, et je n'ai jamais ambitionne d'autres suffrages. Quant a la traduction de M. E. Charriere, d'apres laquelle on m'a juge, je ne crois pas qu'il y ait beaucoup d'exemples d'une pareille mystification litteraire. Je no parle pas des contre-sens, des erreurs, dont elle fourmille, une traduction du Russe ne saurait s'en passer; mais, en verite, on ne peut se figurer les changements, les interpolations, les additions, qui s'y rencontrent a chaque page. C'est a ne pas s'y reconnaitre. J'affirme qu'il n'y a pas dans tous les "Memoires d'un seigneur Russe" quatre lignes de suite fidelement traduites. M. Charriere a pris surtout soin d'orner mon style, qui a du lui sembler beaucoup trop mesquin et trop maigre. Si je fais dire a quelqu'un: - "Et je m'enfuis", voici de quelle facon cette phrase si simple est rendue: "Je m'enfuis d'une fuite effaree, echevelee", comme si j'eusse eu a mes trousses toute une legion de couleuvres, commandee par des sorcieres. Un lievre poursuivi par un chien devient sous la plume enjouee de mon traducteur...
5. Une fin (Конец)
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Часть текста: assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé,...