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1. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25, 26 марта (6, 7 апреля) 1867 г.
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3. Тургенев И. С. - Виардо Луи и Полине, 8 (20) ноября 1846 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. История одного города. Издал М. Е. Салтыков. С. -Петербург, 1870
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Часть текста: his time of persecution and of exile under the Emperor Nicholas, acquired a great deal of popularity by the publication, some fifteen years ago, of a series of sketches called Scenes of Provincial Life (Gubernskie Ocherki) , in which he lashed with indomitable vigour the numerous abuses then current under the name of Government and Justice. Saltykoff’s manner as a satirist somewhat resembles that of Juvenal. His laughter is bitter and strident, his raillery not unfrequently insulting. But, as we have already said, his violence often assumes the form of caricature. Now there are two kinds of caricature: that which exaggerates the truth, as with a magnifying glass, but which never entirely alters its nature, and that which more or less consciously deviates from the natural truth and proportion of fact. Saltykoff indulges in the first kind only, the only admissible one. It is the natural consequence of his character: kind and sensitive at bottom, but superficially rude. At the same time he is very delicate in his perceptions, which have something of instinct and divination about them. He has read much, and above all he has seen much. In fact he knows his own country better than any man living. The History of a Town — which is in reality a sort of satirical history of Russian society during the second half of the past and the beginning of the present century, under the form of a burlesque description of the town of Glupoff, and of the governors who successively ruled over it from 1762 to 1826 — could not ...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25, 26 марта (6, 7 апреля) 1867 г.
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Часть текста: einen Streich durch die Rechnung. Vous savez déjà que je devais lire aujourd'hui en séance publique un fragment de mon roman 2 : eh bien! - hier soir, vers 10 heures, j'ai été pris d'une attaque de goutte à l'orteil tellement violente, que rien de tout ce que j'ai eu jusqu'à présent ne peut s'y comparer: j'ai souffert toute la nuit comme un damné - et ce n'est que depuis une heure ou deux que l'accès se calme. Naturellement, la lecture est tombée à l'eau. A 1 1/2 h, au moment où le public "accourait en foule" (il paraît en effet qu'il y a eu foule), j'étais couché sur le dos, et mon pied nu levé vers le ciel. - Dites à Didie de faire un dessin là-dessus 3 . L'accès se calme à l'heure qu'il est - mais ce qui me tourmente - c'est qu'il ait pu avoir lieu après plus de trois mois de maladie: quand cela finira-t-il, et sur quoi puis-je compter? Voila mon départ de Moscou retardéj car il faut que je tienne ma promesse et que je fasse cette malencontreuse lecture 4 ,-- et mon arrivée à Bade, retardée aussi - ce n'est plus le 15 que je pourrai revoir ces endroits chéris! Et si je pouvais me reprocher la moindre imprudence! Mais rien - une vie exemplaire, une vie d'ascète, de St Jean-Baptiste 6 ... et crac! un accès... Vous comprendrez aisément,-- et sans que j'aie besion de vous l'expliquer, combien tout ceci m'est pénible... Oh! vilaine, vilaine année...
3. Тургенев И. С. - Виардо Луи и Полине, 8 (20) ноября 1846 г.
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Часть текста: le croire - et j'ai ete bien heureux et bien content de votre triomphe dans la "Norma" 3 . Ceci me prouve que vous avez fait des progres, c'est-a-dire de ces progres comme en font les maitres et qu'ils ne cessent de faire jusqu'a la fin. Vous etes parvenue a vous approprier l'element tragique, le seul dont vous n'etiez pas encore entierement maitresse (car pour le pathetique, ceux qui vous ont vue dans "La Sonnambula" 4 savent a quoi s'en tenir), et je vous en felicite de tout mon coeur. Quand on a la noble ambition qui vous anime et une nature aussi richement douee que la votre, il n'est pas de couronne a laquelle on n'ait le droit d'aspirer, par la grace de Dieu. Le choix des operas que vous allez donner a l'Opern-Haus me parait admirable (il va sans dire que je prefererais "Les Huguenots" au "Camp de Silesie" 5 ). Pour 1 "Iphigenie", j'oserais vous conseiller de relire avec attention la tragedie de ce nom, de Goethe 6 , d'autant plus que vous aurez affaire a des Allemands, qui, presque tous, la savent par eoaur, et dont la maniere de comprendre ou de se representer Iphigenie est par cela meme irrevocablement fixee. Du reste, la tragedie de Goethe est certainement belle et grandiose, et la figure qu'il a tracee est d'une simplicite antique, chaste et calme - peut-etre trop calme, surtout pour vous, qui (grace a Dieu) nous venez du Midi. Cependant, comme il y a ...