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Cлово "INEXPLICABLE"


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1. Un incendie en mer (Пожар на море)
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18 февраля (1 марта) 1852 г.
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1. Un incendie en mer (Пожар на море)
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Часть текста: на море) UN INCENDIE EN MER C’était au mois de mai 1838. Je me trouvais, avec beaucoup d’autres passagers, sur le bateau le Nicolas I er , qui faisait le trajet entre Saint-Pétersbourg et Lübeck. Comme, dans ce temps-là, les chemins de fer étaient encore peu florissants, tous les voyageurs prenaient la route de mer. Par cette même raison, beaucoup d’entre eux emmenaient leur chaise de poste pour continuer leur voyage en Allemagne, en Françe, etc. Nous avions, je m’en souviens, vingt-huit voitures de maître. Nous étions bien deux cent quatre-vingts passagers, dont une vingtaine d’enfants. J’étais très jeune alors, et, ne souffrant pas du mal de mer, je m’amusais beaucoup de toutes les nouvelles impressions. Il y avait à bord quelques dames, remarquablement belles ou jolies. (La plupart sont mortes, hélas!) C’était la première fois que ma mère me laissait partir seul, et j’avais dû lui jurer de me conduire sagement, et surtout de ne pas toucher aux cartes... et ce fut précisément cette dernière promesse qui fut enfreinte la première. Un soir, en particulier, il y avait grande réunion dans le salon commun, entre autres plusieurs banquiers bien connus à Pétersbourg. Ils jouaient chaque soir à la banque (sorte de lansquenet), et les...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18 февраля (1 марта) 1852 г.
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Часть текста: que j'aie pu laisser passer pres d'un mois sans vous ecrire, tout aussi impardonnable qu'inexplicable pour moi. Je compte sur votre bonte et vous promets d'etre plus exact a l'avenir. J'ai recu votre seconde lettre de Dunse Castle 1 (ainsi que celle de Viardot sur ses chasses chez L. Landerdale 2 ) et j'y ai vu avec plaisir que votre sante allait s'ameliorant. Je fais des voeux pour qu'elle aille ainsi jusqu'au moment decisif du mois de mai et que ce moment passe aussi vite et bien 3 que possible. Ma sante a ete assez longtemps chancelante, il n'y a pas plus de 10 jours que je suis sorti pour la premiere fois (avec un gilet de flanelle, dites-le a Vfendante. Vous vous imaginez bien qu'elle ne laisse pas echapper l'occasion de lancer des coups de poing a la Norma. En somme, il n'y a pas eu de succes - et Sardanapale est mort 4 . Maintenant tout le monde est parti. La veille du depart, j'ai vu Tamberlick chez le c-te Wielhorski - j 'ai fait sa connaissance - il m'a beaucoup plu, il vous aime beaucoup, je l'ai prie de vous saluer de ma part 5 . La reputation de Gounod croit et s'etablit a Paris, d'apres ce que je lis dans les journaux; j'en suis bien heureux 6 . A propos de Paris, je ne sais pas si ce n'est pas a la rue de Douai que je dois vous ecrire... cependant, j'enverrai cette lettre en Ecosse, et je vous en ecrirai une autre dans quelques jours en France. J'ecrirai aussi a Mlle Renard et a la petite; des que je vous saurai a Paris, je vous enverrai les 1 200 francs de sa pension 7 . Chere Madame V, je vous prie d'excuser l'insignifiance de ma lettre apres un si long silence - je me sen-lais fort peu en train au moment de prendre la plume, mais je n'ai pas voulu attendre plus longtemps. Si mon style est languissant, mon affection profonde pour vous et les votres ne l'est et ne le sera jamais. Est-il vrai que...