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Cлово "NOVICE"


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1. Предисловие к французскому переводу поэмы М. Ю. Лермонтова "Мцыри"
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 21 марта (2 апреля) 1864 г.
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3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 марта (9 апреля) (?) 1864 г.
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1. Предисловие к французскому переводу поэмы М. Ю. Лермонтова "Мцыри"
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Часть текста: Лермонтова "Мцыри" <Предисловие к французскому переводу поэмы М. Ю. Лермонтова «Мцыри»> «Le novice» Avant-propos Michel Lermontoff, né en 1814, orphelin,’ élevé par sa grand-mère, puis étudiant à l’université de Moscou, fut admis, à vingt-deux ans, dans les hussards de la garde impériale. C’était à l’époque où Pouchkine venait de succomber dans un duel. Lermontoff déplora sa mort prématurée dans une élégie que la Russie entière admira, mais dont quelques vers exprimant je ne sais quelle soif de liberté déplurent en haut lieu. On l’envoya au Caucase. A son retour, au bout de trois ans, il publia un petit recueil de poésies, où se trouvait la pièce que nous offrons à nos lecteurs. Tout le monde lettré s’unit pour saluer en lui le successeur du poète qu’il avait célébré. Mais bientôt à l’occasion d’une dispute avec le fils d’un ambassadeur, on lui donna de nouveau l’ordre de retourner au Caucase. C’est là, qu’à la suite d’une querelle futile, il fut provoqué par un de ses camarades de régiment, et périt comme Pouchkine. C’était en 1841; Lermontoff avait vingt-sept ans. Le petit poème du «Novice» («Mtsyri») est écrit, en vers de huit syllabes, à rimes uniquement masculines, mais alternantes. Cette forme ajoute à la poésie, par sa monotonie même, une énergie singulière. On l’a comparée au travail incessant d’un prisonnier frappant à coups redoublés sur les murs de son cachot. M. Mérimée a bien voulu se charger de la...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 21 марта (2 апреля) 1864 г.
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Часть текста: . Mme Delessert me donne bon espoir: - il paraît qu'elle a trois prétendants sur le tapis: j'aurais préféré un seul, mais bon. - Enfin - nous verrons. Mme Delessert) voit beaucoup de monde, a des relations très étendues et s'est attachée à Pauline: tout cela peut mener à un bon résultat. - Je le répète: nous verrons! Je pense presque constamment à cette pauvre Louise, j'espère que vous m'écrirez immédiatement après l'événement 3 . - Je comprends que d'ici là vous ne pouvez songer à autre chose. A propos, avez-vous revu Mr de Seldeneck à Carlsruhe? - Vous seriez bien aimable de m'envoyer un fragment d'un journal de Bade ou de Carlsruhe qui contiendrait un article sur "Orphée". Nous sommes allés, Fridolin et moi, voir "L'Ami des Femmes" d'A. Dumas 4 . - Il est impossible de voir une pièce aussi invraisemblable, aussi mal faite - et il faut le dire, aussi cynique, mais il y a beaucoup d'esprit - trop d'esprit - et c'est amusant. - Mlle Delaporte est très bien dans le principal rôle: elle a beaucoup de talent et de naturel, Mlle Montelaud y montre aussi ses yeux invraisemblables avec des cils d'un kilomètre de longueur: les toilettes sont "renversantes", comme disent les gandins. J'ai attrapé un assez gros rhume et je reste aujourd'hui tout le jour à la maison: je veux en profiter pour travailler à mon article sur Shakespeare 5 . - Ecrivez-moi votre opinion sur le petit récit que je vous ai envoyé:...
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 марта (9 апреля) (?) 1864 г.
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Часть текста: cru à une solution... j'ai été vite détrompé! - Croyez-le, les souffrances morales dont vous parlez ne sont pas pour vous seule - et vous avez exprimé avec la plus grande exactitude la sensation pénible qui ne me quitte pas plus que vous l . Ah! ce sont de durs moments à passer - il faut tâcher de regarder en avant. - J'ai eu une inquiétude toute particulière, en me couchant hier vers 1 heure de la nuit: je ne serais pas étonné d'apprendre qu'à ce moment-là quelque chose de décisif se passait à Bade. Je suis très content de savoir le Dr Frisson chez vous. Dites à Viardot que je regrette beaucoup qu'il n'ait pu acheter quelques faisans, car j'ai de l'argent disponible, vu que le p(rin)ce Troubetzkoï m'a dépêtré de Mons(ieur) Bussière, sans qu'il m'ait coûté un sou. - C'est tout profit--et je serais tout prêt à...