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Cлово "PARTE"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1, 3, 4, 5, 8, 9 (13, 15, 16, 17, 20, 21) декабря 1850 г.
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 26 февраля (10 марта) 1867 г.
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3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 февраля, 1 марта (12, 13 марта) 1867 г.
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4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3(15) июня 1867 г.
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5. Новь (главы 35-36)
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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1, 3, 4, 5, 8, 9 (13, 15, 16, 17, 20, 21) декабря 1850 г.
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Часть текста: exageration - je n'ai pas cesse un seul instant de penser a vous, ma bonne, douce et genereuse amie - et a la petite Pauline. - Je vous le dis - l'idee de la savoir entre vos mains me la rend chere - elle a raison de vous appeler maman - c'est vous qui en ferez ma fille pour de vrai. J'attends avec impatience une seconde lettre - elles viennent bien tard a Moscou - pour voir si l'impression favorable qu'elle parait vous avoir faite - s'est soutenue. - Pourvu que son coeur grandisse bien vite... J'aime a me le figurer dans le creux de votre main. Sie wissen warum. Mein Leben und mein Herz sind auch da wie friiher. Sie haben es nicht fallen lassen, nicht wahr? Que Dieu benisse mille fois votre chere tete - et comment vont vos yeux? On est tres aimable cette annee-ci pour moi a Moscou - et si je voulais, j'irais partout - mais je n'en ai nulle envie. Je vois fort peu de monde - la comtesse Sailhas d'abord - Stchepkine et son fils. - Cette comtesse est une Russe mariee a un Francais, qu'un duel a force de retourner dans son pays. - Elle est spirituelle, bonne, franche; elle a dans ses manieres quelque chose qui vous rappelle -...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 26 февраля (10 марта) 1867 г.
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Часть текста: einziges, angebetetes Wesen, me voici donc à Pétersbourg - fort bien installé dans une bonne chambre bien commode chez le vieux papa Botkine, que j'ai trouvé un peu vieilli et grisonnant. Mon pied x qui prenait une fort mauvaise mine avant-hier - lorsque je vous écrivais au crayon entre Königsberg et Elbing 1 -- va mieux - l'inflammation a disparu à peu près - et j'espère que deux ou trois jours de repos absolu le remettront dans l'état où il était à Berlin. - J'ai eu un peu à souffrir à la frontière et à la douane - car il a fallu sortir du wagon, marcher, etc.,-- mais pourtant cela n'a pas été bien terrible et il ne faut pas que vous ayez la moindre appréhension. Je vous promets d'écrire tous les jours 2 . Annenkoff est venu me voir - comme de raison - sa femme a été gravement malade - elle a eu aussi une péritonite comme Jeanne - mais elle commence à aller mieux. - Mon intendant est ici et je le verrai { Далее зачеркнуто: demain} aujourd'hui même 3 . Il paraît que mon oncle est toujours aussi toqué et ma présence à Spasskoïé est indispensable 4 . J'écris à Katkoff à Moscou pour savoir si je dois me rendre immédiatement à Moscou, ou plutôt s'il faut que je m'y arrête avant d'aller à la campagne - ou vice versa. - La première lecture est fixée pour ce soir 5 . Dans tous les cas je reste ici 5 à 6 jours et vous pouvez me répondre encore ici à cette lettre. - J'ai envoyé hier soir un télégramme avec réponse - et j'espère bien l'avoir aujourd'hui... Ici - et depuis la frontière - nous sommes en...
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 28 февраля, 1 марта (12, 13 марта) 1867 г.
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Часть текста: 28 fév/12 mars 1867. Chère et bonne Madame V - le succès de la lecture n'a fait que grandir - j'ai terminé le tout hier à minuit, après une lecture qui a duré 7 heures à peu près - je me sentais complètement brisé de fatigue - mais l'impression que je voyais se produire me contenait 1 . Enfin, il paraît que c'est ce que j'ai fait de moins mauvais - et on me promet monts et merveilles. Tant mieux, tant mieux. Je suis surtout heureux de voir votre opinion - la seule décisive pour moi - se confirmer. Quant à mon pied, il y a une très grande amélioration - je suis en état de marcher comme à Berlin. J'attends une lettre de Katkoff 2 pour savoir au juste quand je dois partir. J'ai vu mon nouvel intendant 3 et j'ai eu une assez longue conversation avec lui. Il me plaît - c'est un homme d'une quarantaine d'années avec une figure énergique et loyale, qui vous regarde droit dans les yeux. Il m'a présenté un mémoire sur l'état de mon bien - et j'ai pu me convaincre qu'il était grand temps de mettre un peu d'ordre et de régularité dans ce chaos. - Je crois que je vais commencer par aller à Spasskoïé pour en finir avec cet état de transition qui ne peut avoir que des suites nuisibles et qui est également pénible pour tout le monde. Mais vous imaginez-vous le froid qu'il fait ici? - Vingt-deux degrés à 8 heures du matin - 17 à midi - on frissonne involontairement à l'idée de se mettre en route par un temps pareil - quand on n'est pas un ours blanc. Mais le vin est tiré, etc. Madame Abaza est venue me voir - je ne sors pas encore. Elle m'a questionné avec beaucoup d'intérêt sur vous, sur ce que vous faites, elle m'a donné des...
4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3(15) июня 1867 г.
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Часть текста: 8 M du m. Chère Madame Viardot, A 5 heures précises nous entrions en gare; à 6 j'étais installé dans une chambre où je puis à peine remuer; à 7 je prenais un bain et je pensais à Mlle Berthe 1 - car, il faut le dire, il n'y a que Paris pour vous donner des conforts pareils. Me voici de retour et dans une demi-heure je me lance 2 . J'ai trouvé: 1®) une lettre de Paulinette, qui m'annonce son arrivée pour ce soir - et que je lui appartiens pour toute la journée de demain; 2®) des billets de Mérimée, Ducamp, Mme Delessert 3 , Thal - mais rien de Pomey et pas de stalle pour "Roméo" 4 . Je ne vais donc pas à Rougemont et rien ne m'empêchera de repartir jeudi. - Il faut vous dire que je suffoque en ce moment: ma bouteille de kirsch s'est cassé dans ma valise - et tous mes effets sont imprégnés d'une odeur d'alcool à faire croire que je suis un ivrogne renforcé. - Je n'ai pas pu trouver de chapeau à ma tête - de faèon que je continue à effrayer les Parisiens. 3 h. J'ai vu Thal et mon ami Grigorowitch à l'Exposition 5 , cela a passé comme un tourbillon - je ne suis resté que très peu de temps, me réservant pour demain. - Thal m'a forcé de manger du caviar qui...
5. Новь (главы 35-36)
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Часть текста: не готовившись быть "пастырями народов", выказывают, однако, весьма изрядные администраторские способности и, мало работая, постоянно вздыхая о Петербурге и волочась за хорошенькими провинциальными дамами, приносят несомненную пользу губернии и оставляют о себе хорошую память. Он только что поднялся с постели и, сидя в шелковом шлафроке и ночной рубашке нараспашку перед туалетным зеркалом, вытирал себе одеколоном с водою лицо и шею, с которой предварительно снял целую коллекцию образков и ладанок, - когда ему доложили о приезде Сипягина и Калломейцева по важному и спешному делу. С Сипягиным он был очень короток, на "ты", знал его с молодых лет, беспрестанно встречался с ним в петербургских гостиных - и в последнее время начал мысленно прибавлять к его имени - всякий раз, когда оно приходило ему в голову, - почтительное: "А!" - как к имени будущего сановника. Калломейцева он знал несколько меньше и уважал гораздо меньше, так как на него стали с некоторых пор поступать "нехорошие" жалобы; однако считал его за человека, qui fera son chemin - так или иначе. Он велел попросить посетителей пожаловать к нему в кабинет и немедленно вышел к ним в том же шелковом шлафроке, не извиняясь даже, что принимает их в таком неофициальном убранстве, и дружелюбно потрясая им руки. Впрочем, в кабинет губернатора вошли только Сипягин и Калломейцев; Паклин остался в гостиной. Вылезая из кареты, он хотел было ускользнуть, пробормотав, что у него дома дела; но Сипягин с вежливой твердостью удержал его (Калломейцев подскочил и шепнул Сипягину на ухо: Ne le lachez pas! Tonnerre de tonnerres!) и повел его с собою. В кабинет, однако, он его не ввел и попросил - все с тою же вежливою твердостью - подождать в гостиной, пока его позовут. Паклин и тут надеялся улизнуть ... но в дверях появился дюжий жандарм,...