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Cлово "HUM"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 16(28) марта 1864 г.
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 19 июня (1 июля) 1865 г.
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3. Une fin (Конец)
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 16(28) марта 1864 г.
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Часть текста: - Elle ne regrette pas trop la déconfiture de Mr P 2 - et elle m'a presque formellement déclaré qu'elle se chargeait de trouver un parti convenable; aussi veut-elle que Pauline vienne s'établir avec Mme Innis à Passy, dans son voisinage, dans un appartement qu'elle connaît et qui ne coûtera que fort peu d'argent. - Cela rentre tout à fait dans mes vues, et dès le 1-er mai ces dames vont { Далее зачеркнуто: finir} y aller. - Dieu veuille que ceci ait un résultat quelconque 3 ! - Je ne veux plus penser au maillot rose; je pense beaucoup plus à mon retour à Bade, où je veux arriver dès le 1-er mai, si c'est possible. - J'ai vu Aignan, qui m'a reèu les bras ouverts; il est très gentil pour moi { Далее зачеркнуто: et}. J'ai dû lui raconter tous les principaux incidents de mon voyage; il quitte Paris dans 15 jours. J'ai vu Mr Tourguéneff 4 ,-- et j'ai vu aussi ce fameux marquis de Villemer 5 . - Je partage un peu l'opinion de Pomey: il y a un personnage charmant, gai, naturel, plein d'esprit, et du meilleur, qui fait rire ou sourire dès qu'il entre en scène - et que Berton joue à ravir: c'est le duc d' Aléria . Tout le premier acte est délicieux - quant au reste, hum! hum! - Les autres personnages sont assez peu de chose, et puis, à partir du troisième acte, il y a de nouveau cet embrouillamini...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 19 июня (1 июля) 1865 г.
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Часть текста: convaincre par les dates. Enfin - c'est heureux qu'elles ne se soient pas perdues. Je les ai lues et relues dans 1 ordre chronologique - et j'ai remarqué, à ma grande satisfaction, que le malaise, dont vous vous plaigniez, avait disparu à la date de la dernière lettre. Il faut que je vous retrouve aussi bien portante que possible: nous voici hors du mois de juin - c'est aujourd'hui le 1-er juillet (style européen) - et dans dix-sept jours, si rien ne m'arrive, je reverrai les bords fortunés de l'Oos 2 . Je quitte Spasskoïé mardi le 11 juillet/29 juin - c'est à dire à peu près à l'époque où vous recevrez cette lettre - je ne m'arrêterai pas du tout à Moscou - et un seul jour à Pétersbourg. De Berlin je vous enverrai un télégramme. Tenons-nous ferme d'ici là! Au lieu de photographie, je vous envoie aujourd'hui un petit mot pour Viardot 3 , qu'il vous montrera sans doute, car il est aussi bien à votre adresse...
3. Une fin (Конец)
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Часть текста: je crois en avoir encore rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant les plus grands froids de l’hiver. Alexieïtch (l’on nommait ainsi mon hôte) s’était assis à côté de moi pour prendre une tasse de thé que je lui avais offerte par courtoisie et qu’il avait acceptée par politesse. Nous causions des récoltes qui s’annonçaient bien, de la fenaison qui...