Поиск по творчеству и критике
Cлово "TENDS"


А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Поиск  
1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1, 3, 4, 5, 8, 9 (13, 15, 16, 17, 20, 21) декабря 1850 г.
Входимость: 2. Размер: 31кб.
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25 июня (7 июля) 1858 г.
Входимость: 1. Размер: 14кб.
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849 г.
Входимость: 1. Размер: 17кб.

Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 1, 3, 4, 5, 8, 9 (13, 15, 16, 17, 20, 21) декабря 1850 г.
Входимость: 2. Размер: 31кб.
Часть текста: pour de vrai. J'attends avec impatience une seconde lettre - elles viennent bien tard a Moscou - pour voir si l'impression favorable qu'elle parait vous avoir faite - s'est soutenue. - Pourvu que son coeur grandisse bien vite... J'aime a me le figurer dans le creux de votre main. Sie wissen warum. Mein Leben und mein Herz sind auch da wie friiher. Sie haben es nicht fallen lassen, nicht wahr? Que Dieu benisse mille fois votre chere tete - et comment vont vos yeux? On est tres aimable cette annee-ci pour moi a Moscou - et si je voulais, j'irais partout - mais je n'en ai nulle envie. Je vois fort peu de monde - la comtesse Sailhas d'abord - Stchepkine et son fils. - Cette comtesse est une Russe mariee a un Francais, qu'un duel a force de retourner dans son pays. - Elle est spirituelle, bonne, franche; elle a dans ses manieres quelque chose qui vous rappelle - nous sommes de grands amis. - Elle a vecu dans le monde et s'en est retiree. - Elle n'est pas jeune, elle n'est pas jolie - mais elle inspire de la sympathie en vous mettant a l'aise de prime abord. C'est un tres bon signe,...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25 июня (7 июля) 1858 г.
Входимость: 1. Размер: 14кб.
Часть текста: avec lui; je ressens profondêment la cruelle douleur que cette perte vous a causêe, et le vide que vous ne remplirez que bien difficilement. Il vous aimait bien! Viardot et Louise doivent être bien tristes aussi tous les deux. Quand la mort frappe dans nos rangs, les amis qui restent doivent se resserrêe encore plus êtroitement; ce n'est pas une consolation que, je vous offre, c'est une main amie que je vous tends, c'est un cœur bien dêvouê qui vous dit de compter sur lui commf sur celui qui vient de cesser de battre. - Je ne puis m'empêcher de penser à la dernière fois que j'ai vu Scheffer; il avait si bon air que l'idêe d'une dernière entrevue ne pouvait pas même se prêsenter à mon esprit. Il êtait en train de peindre un Christ avec la Samaritaine; je m'assiffl derrière lui et nous causâmes longuement; Je lui racontais mon voyage en Italie (c'êtait dans les premiers jours du mois de mai). Jamais je ne l'ai vu plus affable et de meiî* leure humeur. Quel coup terrible pour sa fille 2 ! Je suis trop sous l'impression de cette funèbre nouvelle! pour vous parler beaucoup de moi. Je vous dirai en deux! mots que j'ai passê trois journêes fort agrêables chez deal amis: deux frères et une sœur 3 , excellente personne qufe se sent très malheureuse: elle a êtê forcêe de se sêparer dej son mari, espèce de Henri VIII campagnard fort dêgoôtant tant 4 ; elle a trois enfants qui viennent très bien, surtout depuis que le papa n'est plus là. Il...
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849 г.
Входимость: 1. Размер: 17кб.
Часть текста: 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849 г. 121. ПОЛИНЕ ВИАРДО 30, 31 июля 1, 2 августа (11, 12, 13, 14 августа) 1849. Куртавнель  Courtavenel. Samedi, 11 aout 49. Bonjour, Madame. Guten Tag, liebstes, bestes, theuer-stes Wesen. - Eh bien! je continue a rester seul a Courtavenel et je viens de recevoir une lettre de Mlle Berthe, dane laquelle elle me dit qu'elle attend de jour en jour l'arrivee de Mr et Mme Sitches. J'espere que Mme Garcia va venir aussi; que ferait-elle toute seule a Bruxelles? - Dimanche. Depuis hier je suis mere, je connais les joies de la maternite, j'ai une famille! Trois charmants petits jumeaux, doux, caressants, gentils, que je nourris moi-meme et que je soigne avec un veritable plaisir. - Ce sont trois petits levreaux que j'ai achetes a un paysan. Pour les avoir j'ai donne mon dernier franc! - Vous,ne sauriez croire combien ils sont jolis et familiers. - Ils commencent deja a grignoter les feuilles de laitue que je leur presente, mais leur nourriture principale est du lait. - Us ont l'air si innocent et si drole quand ils relevent leurs petites oreilles. Je les tiens dans la cage, ou nous avions mis le herisson. Ils viennent a moi des que je leur tends les mains, ils grimpent sur moi, ils me farfouillent dans la barbe avec leurs petits museaux, ornes de longues moustaches. - Et puis ils sont si propres; tous leurs mouvements sont si gentils. Il y en a un surtout, le plus gros qui a un air grave a mourir de rire. - Il parait que je suis devenu non seulement mere, mais vieille femme - car je rabache. - Malheureusement ils seront deja assez grands le jour de votre arrivee; ils perdront de leur grace. - Enfin, je...