Поиск по творчеству и критике
Cлово "UNITE"


А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Поиск  
1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25 февраля (9 марта) 1854 г.
Входимость: 1. Размер: 9кб.
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 23, 25, 26, 27, 28 июля (4, 6, 7, 8, 9 августа) 1849 г.
Входимость: 1. Размер: 57кб.

Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 25 февраля (9 марта) 1854 г.
Входимость: 1. Размер: 9кб.
Часть текста: position fausse et, je dirais, presque impossible. A quoi bon rattacher un lien qui est et doit rester - rompu? Je concois parfaitement qu'il vous serait impossible de surveiller son education avec toutes les fatigues et les travaux que je prevois pour vous - avec toute l'incertitude des temps qui s'ouvrent devant vous - mais je sais que, confiee uniquement a Mlle Renard Pauline peut encore devenir ce que le ciel veut qu'elle devienne - tandis qu'ici sa position serait des plus penibles. - En un mot, voici ma decision - il faut la replacer chez Mlle Renard,-- Avant quinze jours vous recevrez les 1200 francs de pension - je vous enverrai en meme temps une lettre pour Mlle Renard. Vous ne me dites rien de vous-meme - il y a deja longtemps que j'ignore a peu pres ce que vous faites. - Je crains fort que nous ne tenions plus que par le bout des doigts - et il me semble que je les sens m'echapper tout a fait... Du reste, il est difficile de conserver le courage et la tenacite de l'affection devant un avenir aussi sombre, aussi incertain - devant l'impossibilite presque complete de se revoir avant que le dernier rayon de la jeunesse ait disparu. -...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 23, 25, 26, 27, 28 июля (4, 6, 7, 8, 9 августа) 1849 г.
Входимость: 1. Размер: 57кб.
Часть текста: que cela s'entend de soi-meme. Vous verrez que vous irez a quinze representations 1 . Les offres - (ou plutot c'est mieux que des offres) de Liverpool sont tres belles; ces Anglais ne se refusent rien 2 . - Je continue a ne pas recevoir signe de vie de chez moi; du reste je me porte bien et suis fort content de mon sort. Le temps a ete assez beau tous ces jours-ci. J'ai recu avant-hier la visite du docteur Fougeux. Nous avons fait une partie de billard, je l'ai promene en bateau. - Je rame mieux que lui, qui cependant se vante d'avoir ete dans son temps le meilleur canotier de Bercy. - Il a du l'oublier depuis ce temps-la - car je suis loin d'etre fort. A propos de bateau, il faut que je vous dise que malheureusement l'eau decroit beaucoup dans les fosses; elle fuit plus que jamais du cote de la fontaine, malgre la terre glaise dont on avait cru boucher le conduit. - Il faudrait refaire la bonde - ce qui ne serait deja pas si difficile, en l'entourant de pierres, en forme de digue. - Il faut aussi que je vous dise que les fosses n'ont pas ete cures du tout; il y a enormement de vase au fond. - Le pere Negros me disait l'autre jour, en montrant le poing a un etre imaginaire - "Ah si l'on me volait comme on vole Mr Viardot!" - Il doit en savoir quelojlje chose. - Du reste les riches sont la pour etre voles - niais c'est que vous n'etes pas encore riche pour pouvoir l'etre en conscience. Je crains bien qu'a votre retour il ne soit plus possible de faire le tour des fosses; deja maintenant il est assez difficile de passer par-dessous le pont du diable - c'est ainsi que j'ai surnomme le pont qui conduit a la ferme. - Dans tous les cas - le Grand Ocean nous restera - le cote -des fosses qui longe la route a partir de la tourelle. - J'ai ieconduit Mr, Fougeux jusqu'a Blandureau. - Il m'a appris que Mlle Laure ne pouvait pas me souffrir. - Il parait que l'on se fait des ennemis sans...