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Cлово "REPUTATION"


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1. Тургенев И. С. - Брюэр Полине, 26 ноября (8 декабря) 1867 г.
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 14, 15 (26, 27) марта 1868 г.
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3. Une fin (Конец)
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4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18 февраля (1 марта) 1852 г.
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5. Тургенев И. С. - Этцелю Жюлю, 31 января (12 февраля) 1866 г.
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6. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 22 января (3 февраля) 1864 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Брюэр Полине, 26 ноября (8 декабря) 1867 г.
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Часть текста: moment - mais cinq jours plus tard mon genou a enflé et il m'est devenu impossible de marcher. J'ai gardé la chambre pendant 3 semaines - cela va mieux maintenant - mais naturellement il n'y a plus à penser à la chasse - je ne marche qu'avec peine. C'est comme un fait exprès. No 2.) Mes affaires vont bien en ce sens que je crois mon nouvel intendant honnête et intelligent 2 ; mais je n'ai pas encore payé l'argent que me réclame mon oncle 3 , et ce n'est qu'au printemps, lors de mon voyage en Russie que je pourrai régler cette affaire qui me tient pieds et poings liés. No 3.) Tu me donnes beaucoup de commissions que je ne demande pas mieux que de remplir. Seulement - si tu désires 15 bouteilles de kirsch - comme le bon kirsch coûte même ici près de 3 francs la bouteille et qu'il faut encore payer près d'un franc d'entrée - tu verras qu'avec l'emballage etc. - cela irait presque à 70 francs. Je me contenterai de t'envoyer 6 bouteilles - et j'employerai la somme qui restera à t'acheter des vases et des coucous. Comme cela, tout sera bien, je l'espère. Le kirsch te sera...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 14, 15 (26, 27) марта 1868 г.
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Часть текста: 1 . J'y ai vu le prince Troubetzkoï, qui m'a semblé maigre et changé - il se dit très malade - il m'a donné des nouvelles de Bellefontaine 2 ; Mme de Peyronnet, qui est très engraissée; mon traducteur (traditore), le prince Augustin Golitzin 3 , qui est bien niniche; Mr Khanykoff, Mr Mohl et un ci-devant prince Gagarine, devenu père Gagarine, en abbé catholique; le comte Mouravieff-Amourski et sa femme. On a été très aimable avec moi, on a parlé des opérettes 4 et de "Fumée" 5 ; Mme de Peyronnet m'a fait des reproches a?sez langoureux - mais je suis resté d'une politesse glaciale: si cette brave dame croit que je lui ai pardonné,.. L'éternité n'est pas encore passée et il en faudrait quatre!! Et encore 6 ! On m'a mis à table à côté du père Gagarine, qui jouit ici de la réputation d'un homme d'esprit; j'ai trouvé un assez plat bavard à la faèon de Moscou - avec une pointe de jésuite peu agréable et un geste de prêtre attendri qui consiste à se frapper alternativement les deux... parties de la poitrine avec les mains posées à plat. Il buvait et mangeait ferme, et sa soutane (car il porte soutane) répandait une odeur aigre et grasse. Le p-ce Troubetzkoï le regardait avec vénération. Moi, je pensais à Bade. J'ai reèu une immense lettre du docteur Frisson sur "Fumée"; il en est très content et me le dit en phrases qui rappellent comme d'habitude la tournure un peu emphatique de 93 et 94 - mais dont le sens est élevé et viril, Je vous montrerai cette lettre: je lui répondrai dès aujourd'hui 7 , d'autant plus...
3. Une fin (Конец)
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Часть текста: de Tourguéneff I Tout le monde le sait, tout le monde le dit, la race des tyranneaux s’est éteinte, ou à peu près, en Russie; cependant je crois en avoir encore rencontré un, et cet individu m’a semblé assez original pour m’engager à en donner une idée à mes lecteurs. C’était au mois de juillet, en pleines chaleurs, à cette terrible époque de l’anaée que les paysans ont surnommée les souffrances. Voulant garantir et mon cheval et moi-même de la chaleur qui nous accablait, je m’étais abrité sous le large auvent d’une auberge de grand chemin dont je connaissais bien le propriétaire, un ci-devant dvorovoï, serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune...
4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 18 февраля (1 марта) 1852 г.
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Часть текста: moi. Je compte sur votre bonte et vous promets d'etre plus exact a l'avenir. J'ai recu votre seconde lettre de Dunse Castle 1 (ainsi que celle de Viardot sur ses chasses chez L. Landerdale 2 ) et j'y ai vu avec plaisir que votre sante allait s'ameliorant. Je fais des voeux pour qu'elle aille ainsi jusqu'au moment decisif du mois de mai et que ce moment passe aussi vite et bien 3 que possible. Ma sante a ete assez longtemps chancelante, il n'y a pas plus de 10 jours que je suis sorti pour la premiere fois (avec un gilet de flanelle, dites-le a Vfendante. Vous vous imaginez bien qu'elle ne laisse pas echapper l'occasion de lancer des coups de poing a la Norma. En somme, il n'y a pas eu de succes - et Sardanapale est mort 4 . Maintenant tout le monde est parti. La veille du depart, j'ai vu Tamberlick chez le c-te Wielhorski - j 'ai fait sa connaissance - il m'a beaucoup plu, il vous aime beaucoup, je l'ai prie de vous saluer de ma part 5 . La reputation de Gounod croit et s'etablit a Paris, d'apres ce que je lis dans les journaux; j'en suis bien heureux 6 . A propos de Paris, je ne sais pas si ce n'est pas a la rue de Douai que je dois vous ecrire... cependant, j'enverrai cette lettre en Ecosse, et je vous en ecrirai une autre dans quelques jours en France. J'ecrirai aussi a Mlle Renard et a la petite; des que je vous saurai a Paris, je vous enverrai les 1 200 francs de sa pension 7 . Chere Madame V, je vous prie d'excuser l'insignifiance de ma lettre apres un si long silence - je me sen-lais fort peu en train au moment de prendre la plume, mais je n'ai pas voulu attendre plus longtemps. Si mon style est languissant, mon affection profonde pour vous et les votres ne l'est et ne le sera jamais. Est-il vrai que Leonard forme le projet de venir ici pendant le careme? Quel plaisir n'aurais-je pas ...
5. Тургенев И. С. - Этцелю Жюлю, 31 января (12 февраля) 1866 г.
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Часть текста: à Mr Pagonkine 1 , dont l'offre est très flatteuse pour moi: mais toutes mes machines - ou à peu près - sont traduites - bien ou mal - et le roman que j'écris maintenant, et que je mettrai avec plaisir à la disposition de Mr P est loin d'être achevé 2 . Pourtant voici ce qui peut se faire: je me rappelle vous avoir vendu un volume de nouvelles, déjà publiées 3 - et je vois même ce volume annoncé sur l'enveloppe de vos éditions sous le titre de "Dernières nouvelles". Je ne crois pas qu'il ait été publié; il devait se composer de: 1) "Annouchka" ("Revue des 2 Mondes") 4 2) et 3) "Petouchkoff" 5 et "Le Juif" ("Revue Nationale") 6 et 4) Une petite comédie, également publiée dans la "Revue des 2 Mondes" et intitulée: "Trop menu le fil casse" 7 . Voici ce qu'on pourrait faire, si vous n'avez pas abandonné l'idée de publier ce volume: faire retraduire par Mr P(agonkine) la nouvelle intitulée "Annouchka" 8 , dont la traduction laissait beaucoup à désirer - et remplacer la comédie assez faible d'ailleurs par une chose à moi intitulée "Visions" et traduite par Mérimée 9 (qui a aussi revu "Le Juif" et "Petouchkoff"). Je ne doute pas qu'il ne veuille jeter un regard sur la traduction de Mr P. De cette faèon on pourrait arranger un assez gentil volume. - "Les Visions" n'ont été publiées nulle part. - Mérimée a l'intention de venir à Paris au mois de mars - je tâcherai d'y venir aussi. Si vous...
6. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 22 января (3 февраля) 1864 г.
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Часть текста: Strasbourg ne vous a certainement pas fait plus de plaisir qu'à moi,-- et je chante avec la vieille chanson allemande: "О Strass-burg! die wunderschöne Stadt!" 1 . Maintenant, c'est le tour de Leipzig, et je sais bien où seront mes pensées ce soir. Ne vous fatiguez pas trop pourtant et portez-vous bien, car il faut que je vous retrouve aussi vaillante et florissante que possible. Dans un peu plus d'un mois... rien, rien, silence!.. comme dit le fou de Gogol 2 . (A propos, vous n'avez pas besoin de mettre le nom de Botkine sur l'adresse; écrivez tout simplement: Ивану Сергеевичу Тургеневу.) J'ai eu des choses peu gaies à faire depuis deux jours: la matinée d'hier a été prise par l'enterrement de ce littérateur, dont je vous ai parlé dans ma dernière lettre 3 . - Il y a des détails bien cruels dans toutes ces cérémonies: le mort est exposé à visage découvert à la maison et dans l'église - on lui donne le baiser d'adieu... et il y avait là sa vieille mère. - Parlons d'autre chose. J'ai dîné chez Mr Venevitinoff 4 : on a parlé de vous et de nos romances. - Pour en donner une idée à l'ami Feth, je les ai fait chanter par une Mme Zybine, qui jouit dans le monde d'une immense réputation de musicienne: eh bien, cette brave personne a pitoyablement pataugé - et j'ai pu me convaincre qu'elle aussi, comme beaucoup de mes compatriotes, tout en connaissant peu la rhétorique, ignore complètement la grammaire. - C'est par la base que pèchent tous ces dilettanti. - Sa fille, jeune personne de 16 à 17 ans, s'est mieux tirée des accompagnements. Je...