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Cлово "WHIST"


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1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 8 (20) июня 1849 г.
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2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 26, 27 января (7, 8 февраля) 1867 г.
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3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3, 4(15, 16) февраля 1867 г.
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4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 4, 5(16, 17) июня 1867 г.
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5. Une fin (Конец)
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 8 (20) июня 1849 г.
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Часть текста: un grand evenement. Voicj ce que c'etait: un gros rat s'etait introduit dans la cuisine et Veronique, dont il avait devore la veille le chausson (quel animal vorace! passe encore si c'etait celui de Muller), avait eu l'adressa, de bouclier le trou qui lui servait de retraite avec deux grosses pierres et un torchon. Elle accourt; elle nous annonce la grande nouvelle. Nous nous levons tous, nous nous armons de batons et nous entrons dans la cuisine. Le malheureux s'etait refugie sous l'armoire du coin; on l'en chasse,-- il sort. Veronique lui lance un coup sans l'atteindre; il rentre sous l'armoire et disparait. On cherche, on cherche dans tous les coins,-- pas de rat. On se donne inutilement au diable - enfin, Veronique s'avise d'ouvrir un tout petit tiroir... une grande queue grise s'agite rapidement dans l'air - le ruse coquin s'etait fourre la! - Il descend comme l'eclair,-- on veut le frapper,-- il disparait do nouveau. Cette fois-ci, on le cherche pendant une demi-heure,-- rien! Et remarquez qu'il n'y a que tres peu de meubles dans la cuisine. Deguerre lasse, nous nous retirons, - nous nous remettons au whist. - Voila que Veronique entre en portant le cadavre de son ennemi avec des pincettes. - Imaginez-vous ou il s'etait cache! Il ...
2. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 26, 27 января (7, 8 февраля) 1867 г.
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Часть текста: en ce moment... tous les amis vous ont déjà reèue avec transport l . J'ai beaucoup de plaisir à penser qu'on vous aime à Berlin - que votre présence y est une fête pour beaucoup de monde. Cette idée me rend la séparation plus supportable - je voudrais vous savoir toujours comme dans du coton. Soyez mille fois bénie et heureuse et contente et bien portante! J'ai travaillé toute la matinée comme un nègre à ce petit récit 2 dont je vous ai parlé; si cela continue ainsi, je l'aurai achevé pour le jour de mon départ - et je pourrai vous le lire à Berlin. Pourvu que mon misérable pied ne rende pas ce voyage impossible ou ne le retarde pas 3 ! Vendredi matin. 10 heures. Mon pied va un peu plus mal aujourd'hui, je ne puis presque plus endurer de chaussure. Le pauvre Dr Heiligen-thal est tout dépaysé - et ne parle plus de mon voyage que d'un ton dubitatif. Voilà bientôt un mois que cela dure - et je suis Gros-Jean ...
3. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 3, 4(15, 16) февраля 1867 г.
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Часть текста: en me lisant votre lettre de Breslau 1 . Je suis tout heureux en pensant combien vous avez été fêtée, adorée, acclamée - et je vois d'ici votre chère figure radieuse et souriante. Allons! Tout va bien - les Silésiens se conduisent comme il faut - et ils méritent la grâce que vous leui? avez accordée, en promettant de revenir. - J'imagine aussi le ravissement de cette bonne Aglaé. La voilà nageant maintenant en pleine eau 2 . Quant à moi, je suis aussi parfaitement échoué qu'on peut l'être. Je ne puis plus bouger de mon canapé - tout mouvement me fait mal. Je vais essayer de me faire rouler en petite voiture jusque chez vous, ah! si c'était possible en effet - sans métaphore... Aber die schönen Tage von Aranjuez sind vorüber 3 . - Kommen Sie wieder? Le même jour, 11 heures du soir. Je reviens de chez vous -- je ne sais pas trop si j'ai bien fait. Mon pied est bien enflé et il me fait bien mal. - Mais aussi j'ai entendu la lecture de la lettre de Berlin avec tous ses charmants détails 4 . Cela m'a mis, comme on dit, du baume dans le sang et je supporte avec plus de résignation la petite vilenie dont le sort m'a gratifié. Je suis content que vous ne chantiez pas "Otello" 5 ; il vous faut maintenant des choses plus larges et plus grandes. Montrez, montrez votre musique à Mr Damrosch 6 - à tout le monde: il faut qu'elle soit publiée - il le faut absolument. A propos... Oscar Begas est-il aussi beau que son frère 7 ? Je crains un peu pour cette tête de quinze ans de Didie 8 . Je lui écrirai dans deux ou trois jours - et en attendant, embrassez-la de ma part. Vous savez que Héritte a ...
4. Тургенев И. С. - Виардо Полине, 4, 5(16, 17) июня 1867 г.
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Часть текста: lui qui pilotait les rois et les princes à travers l'exposition 3 , s'est mis à nous remorquer à toute vapeur. Cette course effrénée a duré cinq heures. Mes pieds n'en pouvaient plus, j'étais complètement ahuri par ce tohu-bohu de machines, meubles, diamants, émeraudes grosses comme des melons, étoffes de toutes couleurs, cristaux, armes, palais t kiosques, poteries, porcelaines, chevaux, chiens, tableauxj statuesj Chinois et Chinoises, enseignes, waterclosets (j'y suis entré quatre fois - j'ai ce qu'avait le lièvre ou plutôt le fils du lièvre dans ma chanson) etc., etc., etc. 4 Après-demain je retournerai seul à l'Exposition et je ne verrai que ce que je voudrai. Sur tout ce tourbillon ont surnagé deux choses: les tableaux de Meissonier, qui est certe à présent le premier peintre du monde 5 - et la superbe exposition de peinture de Bavière. Zulouf"avait raison - ils battent tous les autres - ces diables de Bavarois - ah! et puis encore une admirable toile espagnole - des cardinaux dans la Salle Sixtine 7 . Le reste { Далее в подлиннике следует рисунок, изображающий пачкотню. }  Voilà l'impression exacte. Il y avait une foule monstrueuse - et ce torrent de figures généralement insignifiantes, joint au flux de paroles que Grigorowitch m'injectait sans cesse dans l'oreille gauche, m'a véritablement anéanti. Puis nous sommes revenus en toute hâte chez le papa Bruère, où j'ai dû subir un repas de famille - avec des ...
5. Une fin (Конец)
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Часть текста: serf d’un seigneur. Dans sa jeunesse, il avait été un garçon maigre et chétif; maintenant c’était un gros bonhomme bien ventru, à la chevelure encore touffue mais grisonnante, aux grosses mains dodues, au cou de taureau. Il portait généralement un mince caftan, retenu par une étroite ceinture en galon de soie; pas de bas aux pieds ni de cravate au cou; la chemise était flottante au-dessus d’un pantalon en velours de coton noir. Grâce à son intelligence, il s’était fait une fortune assez rondelette, sans exciter ni soupçon ni haine, chose rare chez nous. J’avais demandé un samovar et du thé, boisson aussi rafraîchissante pendant la canicule qu’elle est réchauffante pendant les plus grands froids de l’hiver. Alexieïtch (l’on nommait ainsi mon hôte) s’était assis à côté de moi pour prendre une tasse de thé que je lui avais offerte par courtoisie et qu’il avait acceptée par politesse. Nous causions des récoltes qui s’annonçaient bien, de la fenaison qui s’était heureusement terminée, et de quelques cas isolés de peste bovine, quand tout à coup Alexieïtch, posant la main sur la visière de sa casquette comme pour la prolonger, s’écria: — Ah! ah! voici notre oiseau de proie qui arrive! On ne pouvait parler d’animaux malades sans voir apparaître cet être-là. Je regardai du côté que me désignait le doigt d’Alexieïtch, et je vis s’avancer vers nous, le long de la route, un équipage assez étrange. C’était...